« Le Concours Métal Jeunes a pour objectif de valoriser le travail du métal auprès des jeunes et de leur faire découvrir ses mille et une facettes techniques et esthétiques. Il leur permet d’exprimer leur talent, d’appliquer leurs connaissances tout en donnant libre cours à leur imagination.
Ce concours offre l’opportunité, avant même l’entrée dans la vie active, de connaître le plaisir de travailler sur un projet exigeant et ambitieux.
Les vertus pédagogiques de l’exercice sont nombreuses : respect d’un cahier des charges, travail d’équipe, ouverture sur d’autres enseignements. Mais le plus important est ailleurs : source d’émulation et de motivation, apprentissage de l’effort et de la persévérance, Métal Jeunes met aussi en valeur la rigueur, le savoir faire et la créativité qu’exige le métier de métallier.
L’épreuve consiste à réaliser, dans le cadre d’un thème imposé, une œuvre en métal, qui sera évaluée en fonction de sa qualité technique, de son esthétique et de la qualité de ses finitions. » Union des Métalliers
Les enseignants de la filière Métallerie de notre lycée, M. EYMARD et DEMICHELIS, ont participé à ce concours à 3 reprises :
- 2000 : Le sport
- 2002 : Le rêve d’Icare
- 2006 : Neptune (projet initié mais non présenté)
En 2020, ils ont décidé de présenter à nouveau la candidature de leur classe de CAP Métallerie. Le concours est en effet une bonne opportunité pour mener un projet commun (support de départ du co-enseignement), mais aussi pour servir de support au « Chef-d’œuvre » que doit réaliser chaque élève de CAP.
L’édition 2020 du concours n’a cependant pu se dérouler comme prévu en raison de la fermeture des établissements : le concours a donc été prolongé d’un an, ce qui a permis à l’équipe de finaliser les productions et le dossier pédagogique.
L’édition 2020/21 a pour sujet « Les monuments détournés, hors Tour Eiffel ».
Vous pouvez découvrir ci-joint le dossier pédagogique retraçant le projet, de sa conception à sa réalisation, ainsi que les pièces réalisées par les élèves pour leur épreuve du « Chef d’œuvre ».
E. NALLIS